Jason Priestley présente « Call me Fitz » saison 1 à la cité de l’architecture à Paris

Diffusion sur Série Club à partir du 6 mai
      
Hier soir, à la cité de l’architecture près du Trocadéro à Paris, une bousculade pour le cocktail, organisé par Série Club et l’agence Way To Blue, précédant la projection en avant-première des deux premiers épisodes de « Call me Fitz » saison 1, série canadienne programmée par la chaîne des séries à partir du 6 mai, tous les dimanches à 23h. La raison de cette effervescence : la présence de Jason Priestley, héros/anti-héros de « Call me Fitz » dont il est aussi le producteur, voire le réalisateur de quelques épisodes. Toutes les invitées voulaient poser avec lui? Pas de problèmes, il a accepté les photos une bonne demi-heure durant… En présentant ensuite la série de son come-back, l’ex-Brandon de « Beverly hills » (1990/2000)  a annoncé qu’ils allaient tourner la saison 4 de « Call me Fitz ».Synopsis.
Un garagiste malhonnête et débauché prêt à tout pour vendre les voitures d’occasion du garage familial. Et même à faire signer un contrat à une cliente inanimée à l’hôpital, qu’un accident de voiture, avec lui au volant, a plongé dans le coma… Mais débarque un certain Larry, nouvel actionnaire du garage, qui se présente comme sa « conscience »…

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impressions sur la série…
Episodes 1 et 2 :


Richard FitzPatrick, dit « Fitz », est le patron d’un garage de voiture d’occasions « FitzPatrick motors ». N’aimant que les femmes, la vitesse et l’argent facile, il a de qui tenir : son père, colérique et cinglé, sa soeur, sa meilleure ennemie. Afin de lui vendre une rutilante décapotable, Fitz emmène une cliente en balade à fond la caisse, accident, il s’en sort, elle reste plongée dans le coma, pour couronner le tout, il allume une cigarette et la voiture prend feu. Mais dans l’intervalle, un groupe d’éclaireuses, scouts féminines, a vu Fitz essayer de faire signer un contrat à la cliente accidentée… La fille de la cliente s’en mêle mais surtout, Fitz trouve à son retour de l’hôpital un nouvel actionnaire du garage qu’a engagé son père dans son dos : Larry, un grand maigre qui prétend être la conscience de Fitz…

Fitz, qu’on découvre lors de la première scène en train de se faire faire une fellation par sa secrétaire dans une voiture en réparation dans l’atelier du garage, a un rêve dans la vie : ouvrir un bar de strip-tease qu’il appellerait le « Summer wind ».

« Call me Fitz », comédie méchante et transgressive, « décalée », où les vices et les péchés sont présentés comme les nouvelles valeurs de la société, tourne vite au « Jason Priestley show » qui jubile à casser son image. C’est outré, caricaturé, très sitcom like, mais on peut aimer si on aime le genre. Le point faible, c’est une BO chantée pesante et assourdissante.

 

 


Jason Priestley à Paris, cité de l’architecture, jeudi 19 avril 2012

 

     


photo Addik TV

Diffusion (en VM)
à partir du 6 mai 2012
Série Club
Tous les dimanches à 23h

sortie DVD intégrale saison 1 Wild side vidéo le 1er juin 2012

 

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Posted by:

Camille Marty-Musso
Créateur et responsable éditorial du site www.cinemaniac.fr, en ligne depuis janvier 2006.

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