Bye Bye Omar le bavard!
C’est Benjamin Bove qui a crié pour la première fois du jeu « Sortez-moi de là, je suis une célébrité! » lors de l’épreuve de survie de ce soir que TF1 diffusera dans la quotidienne de demain mais c’est Omar Harfouch qui est sorti, cinquième candidat à quitter le jeu après Sonia Dubois, Agnès Soral, Delphine de Turcheim et Satya Oblette. On s’achemine vers une finale avec Filip Nicolic, Charles-Philippe d’Orléans, Loana et Marielle Goitschel… ( à mon avis)Le Mel Gibson français, comme l’appelle Agnès Soral, soit Filip Nicolic, est allé entraîner ses muscles impressionnants dans l’eau d’une cascade enchaîné à la frêle Indra pour l’épreuve du coffre, le but étant de détacher du haut de la cascade un filet contenant des balles multicolores, et de redescendre récupérer les balles dorées dans le lot, correspondant à autant de lingots pour les associations. Bilan 5000 E/10 et une main blessée pour Indra.
La faim mine les troupes qui à peine avalée leur maigre pitance s’en retourne dormir, qui dort dîne… Les visages s’émacient à vue d’oeil : Benjamin et Charles-Philippe ont des joues creuses qu’ils n’avaient pas en arrivant. Mais l’épreuve de survie de la veille s’en va nouer les estomacs plus que la disette : seconde épreuve de dégoût, à présent, les candidats se désignent entre eux, Loana s’exclut d’elle-même de façon très autoritaire mais encourage les autres à y aller… Marielle, toujours bonne pâte, s’y colle, Charles-Philippe, gentleman, l’accompagne, il sont ceci en commun qu’ils sont les deux seuls à avoir vraiment de la classe… La pauvre Marielle a une malchance épouvantable dans la distribution des plats mais aucun des deux ne fait le moindre chichi. Résultat : carton plein, 8 repas pour le dîner du soir, du poulpe et des pommes de terre, que Charles-Philippe, écoeuré, ne pourra même pas manger…
Même Christophe Dechavannes, hier désopilant dans une robe de feuillage, semble fatigué, bien qu’iil demeure le rayon de soleil de l’émission. Quand on annonce la sortie du jour, Omar qui a préparé son sac, comme tous les soirs, paraît soulagé d’être désigné, plus éprouvé moralement que physiquement, exit la mauvaise langue du campement, c’est à l’hôtel désormais qu’il pourra potiner…
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