Dernier WE à Deauville avec Liam Neeson, Salma Hayek, le Palmarès : doublé pour "Les Bêtes du sud sauvage"


Salma Hayek, CP, Deauville, samedi 8 septembre
En revanche, Salma Hayek en conférence de presse ce samedi a séduit tout un chacun : la « Bomba latina » est naturelle, pétillante, sensible, sans langue de bois, belle à l’intérieur comme sublime physiquement (photogénique sur toutes les photos, impossible de tout publier ici…) *** extraits de la CP de Salma Hayek (en bas de page) Plus gâtée côté cinéma que Liam Neeson, Salma Hayek présentait le dernier film d’Oliver Stone, « Savages », loin d’être un chef d’oeuvre mais filmé par un pro efficace sans vocation artistique (couleurs criardes, son haut régime) : la Oliver Stone touch. Le sujet d’un trio peace and love and drug, versé dans le trafic artisanal de cannabis, affrontant la reine d’un cartel mexicain de la drogue, n’a pas grande crédibilité mais ça se regarde.
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Liam Neeson, après la CP, Deauville, vendredi 7 septembre








Salma Hayek, CID, hommage, Deauville, samedi 8 septembre

Salma Hayek et Sandrine Bonnaire
Benh Zeitlin, Grand prix Sandrine Bonnaire, Alice Taglioni
Lucy Mulloy, Prix du jury, Sandrine Bonnaire
Grand jury, Sandrine Bonnaire, présidente
Jury révélation, président, Frédéric Beigbeder
Sandrine Bonnaire
PRIX DU JURY
« UNA NOCHE » de Lucy MULLOYPRIX DE LA RÉVÉLATION
« LES BÊTES DU SUD SAUVAGE » (« Beasts of the Southern Wild »)
de Benh ZEITLINPRIX DE LA CRITIQUE INTERNATIONALE
« THE WE AND THE I » de Michel GONDRY
PRIX MICHEL D’ORNANO
« RENGAINE » de Rachid Djaïdani (sortie 14 novembre 2012)
*** Salma Hayek en CP, extraits
(Fille d’une chanteuse d’opéra et d’un homme d’affaires, Salma Hayek a passé son enfance au Mexique).
A une question sur « Frida », elle pleure en se remémorant son projet passion, des années pour y aboutir, deux semaines pour finaliser le projet dans l’urgence grâce à une chaîne d’amitié, l’acheteuse d’un tableau de Frida Kahlo qui a produit le film, etc… Et elle dit ensuite en plaisantant qu’elle déteste celui qui a posé la question, que sa fille ne l’a jamais vu pleurer, qu’elle va abimer son maquillage pour faire des photos… Cash, drôle, vivante, Salma Hayek est d’un naturel rafraîchissant, elle parle sans langue de bois, de son ancien compagnon Edward Norton, de son mari François (Pinaud), de sa petite fille Valentina (dans la salle), des rôles de femme de ménage qu’on réservait aux actrice mexicaines à son arrivée à Hollywood. Plaisantant qu’hier, au mieux, une actrice mexicaine pouvait jouer la femme d’un trafiquand de drogue et aujourd’hui, progrès, une baronne de la drogue! Salma H insiste sur ses difficultés à trouver le moindre petit rôle à ses débuts, elle dira même lors de l’hommage le soir au CID « Merci à l’adversité qui m’a permis d’être là où j’en suis! » En CP, elle insiste que sans l’aide de son compatriote Roberto Rodriguez (6 films avec lui) elle ne serait pas là comme actrice. Comme on lui souhaite son anniversaire qu’elle vient de fêter, elle prend les devant « 46 ans et no Botox! » En français, elle répond à la question qu’elle va voter Obama car « c’est mieux pour les femmes » (elle n’ose pas parler français mais elle le comprend très bien, vivant aujourd’hui en France).

Salma Hayek, CP, Deauville, samedi 8 septembre



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